Jean de Gribaldy : une Vie
Le coureur cycliste
La vie de Jean de Gribaldy en images
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18 juillet 1948. Tour de France, à l'arrivée de la 15e étape entre Aix les Bains et Lausanne. Longue de 256 km, elle emprunte les cols des Aravis (1498 m, franchi en tête par Bartali) et de la Forclaz (1527 m, franchi en tête par Lazarides).
Jean de Gribaldy, sous les couleurs Ile de France-Nord Est, fête ce jour-là avec éclat ses 26 ans, et termine 7e de l'étape à 1'47’’ du vainqueur Gino Bartali, dans un groupe composé de Schotte, Baratin, Brulé, Teisseire, Impanis, Camellini, Kirchen et Volpi.
Victime d'une intoxication alimentaire, Jean abandonnera malheureusement le lendemain lors de l'étape entre Lausanne et Mulhouse traversant la Franche-Comté où ses nombreux supporters l'attendront en vain.
Merci à Yvon Baud, présent ce jour-là (il a 12 ans), ce cliché est l’œuvre de son oncle Pierre. Sur cette photo, Jean, George Baud (autre oncle de Yvon) et derrière eux avec le chapeau Francis de Gribaldy, le père de Jean.
Pierre Baud avait fait le voyage avec sa moto 500 cm3 Motoconfort avec son frère Georges sur le strap arrière. Quand à Yvon, c’est avec son père et en Citroën C4 (le modèle de 1928 !) qu’il avait rejoint Lausanne.
Jean de Gribaldy, sous les couleurs Ile de France-Nord Est, fête ce jour-là avec éclat ses 26 ans, et termine 7e de l'étape à 1'47’’ du vainqueur Gino Bartali, dans un groupe composé de Schotte, Baratin, Brulé, Teisseire, Impanis, Camellini, Kirchen et Volpi.
Victime d'une intoxication alimentaire, Jean abandonnera malheureusement le lendemain lors de l'étape entre Lausanne et Mulhouse traversant la Franche-Comté où ses nombreux supporters l'attendront en vain.
Merci à Yvon Baud, présent ce jour-là (il a 12 ans), ce cliché est l’œuvre de son oncle Pierre. Sur cette photo, Jean, George Baud (autre oncle de Yvon) et derrière eux avec le chapeau Francis de Gribaldy, le père de Jean.
Pierre Baud avait fait le voyage avec sa moto 500 cm3 Motoconfort avec son frère Georges sur le strap arrière. Quand à Yvon, c’est avec son père et en Citroën C4 (le modèle de 1928 !) qu’il avait rejoint Lausanne.